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3 trucs qui m’ont aidé quand j’étais un bébé entrepreneure

Cher journal, 

Ce soir, je suis en mode nostalgie. Je me revois à mes débuts de bébé entrepreneure.

Et c’est chouette parce que je vois surtout le chemin parcouru.

Je sais aussi que ça ne s’est pas fait tout seul. Il n’existe aucune baguette magique pour développer son activité. Aucune potion magique à boire pour se retrouver cocktail à la main au bord d’une piscine ^^

Alors, quels sont les trucs qui m’ont aidé et m’aident encore quand j’étais un bébé entrepreneure ?

1 – Me faire coacher, mentorer, accompagner

C’est une évidence ! Après coup, je me rends compte que je me suis fait accompagner toute l’année dernière. J’ai commencé par me faire coacher pour y voir plus clair dans mon projet, mes envies et négocier ma rupture conventionnelle. 

Je suis ensuite passée au mentorat pour développer à la fois mes compétences métier mais surtout construire mon projet d’entreprise.

Et puis, je me suis immatriculée et je me suis sentie bien seule à tourner en rond avec mes peurs et mes doutes.

Alors, je suis retournée me faire coacher !

Parce que la réussite d’un entrepreneur repose sur la stratégie ET le mindset. 

2 – M’entourer dès mon statut de bébé entrepreneure

Se lancer dans l’entrepreneuriat, c’est assez facile avec le statut de micro entrepreneur. Mais n’empêche que bien souvent on est tout seul. Et, surtout, j’ai vite compris que je n’avais aucun repère dans ce nouveau monde. J’avais beau lire des tonnes d’articles depuis des mois, ce n’était pas concret dans mon quotidien.

Sûrement aussi parce que je n’avais pas d’indépendant dans ma famille ou mes amis. Un vaste sujet d’ailleurs au moment de se lancer car ils flippaient tellement qu’ils me transmettaient leurs doutes au lieu de m’encourager ^^

C’est quelque chose que j’ai compris maintenant. Ma vie d’entrepreneure n’est pas un sujet que j’aborde avec tout le monde. Ou, pas de la même manière en tout cas.

Bref, ce qu’il faut retenir, c’est qu’aujourd’hui j’ai mes « nouveaux collègues ». Mon réseau à moi.

Il s’est construit au fur et à mesure des rencontres lors de formations, défis en ligne ou événements locaux comme le réseautage où je suis allée l’autre jour.

Et, c’est un atout précieux car je sais vers qui me tourner quand j’ai une question ou un doute. Coucou Suzie, Juliette and co !

Bref, je fais en sorte de ne pas rester seule trop longtemps et, je regarde, j’observe et j’apprends. Et, surtout, je discute… de mes projets, de mes envies, de mes doutes. Et, l’échange, comme un ping – pong, me fait avancer et bouger dans mon business.

3 – Tester, expérimenter, me planter 

Je me revois à mes débuts de bébé entrepreneure et je rigole. Je suis indulgente mais je vois tout le temps perdu après coup. En même temps, je sais qu’il fallait que je fasse ces erreurs pour apprendre. C’est aussi comme cela qu’un enfant grandit vers l’adolescence puis l’âge adulte.

Ma plus grande erreur ? Passer mon temps à apprendre, apprendre, apprendre pour proposer LA bonne offre au bon client au bon moment…

Je passais beaucoup de temps à lire des articles sur le web, écouter des podcasts, visionner des webinaires… et je prenais des notes. Plus tard, j’imaginais comment les mettre en application mais dans la réalité, il ne se passait RIEN.

Après ces 6 premiers mois d’activité, je peux te dire que ce qui compte vraiment, c’est d’agir. C’est de faire, d’être dans l’action et pas planqué derrière son ordinateur. Non. D’avoir des vrais conversations avec des vrais gens sur tes projets, tes envies.

Il ne s’agit aucunement d’être un intello stratège mais de tester, de se planter et d’ajuster. Ce n’est jamais parfait du premier coup. Il faut être ok avec cette idée tout en croyant en sa proposition. C’est ce qui fait monter l’adrénaline mais quelle joie quand le client nous dit un simple « oui ». Je me souviens encore de cette première fois.

Aujourd’hui, je ne me sens plus comme au stade de bébé entrepreneure mais plutôt dans celui de l’adolescente. Je tâtonne encore à trouver ma propre façon de faire, certaines me mettent en colère et m’agacent. En quelques mots, je suis entre le mode rebelle et le mode « je crois que j’ai compris comment ça marche ».

Stéphanie, entrepreneure débutante

PS : Et toi, tu te situes à quel stade de ta vie d’entrepreneur ?

PPS : Si tu veux faire plus ample connaissance, tu peux lire mes autres chroniques.

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